En cette ère de l’information et du numérique tout va vite, très vite. À tel point que les 24 heures d’une journée semblent désormais ne plus suffire à la plupart des gens en activité. Ce contexte socioéconomique a consacré la relégation au second plan d’un grand nombre d’activités pourtant indispensables à l’existence. L’alimentation notamment est l’une de ces activités auxquelles on n’accorde plus l’attention de jadis. Aujourd’hui, ce sont les grandes surfaces qui assurent l’essentiel de ce que nous mangeons. Et bien entendu avec tous les écarts inhérents à l’industrie agro-alimentaire (contamination aux pesticides, OGM à foison, déforestation, etc…).
Toutes les voix s’accordent aujourd’hui pour reconnaître qu’un véritable changement de paradigme est indispensable afin de préserver la biodiversité ainsi que notre santé. Ce sont les petites actions combinées qui donnent lieu aux grandes révolutions. Aussi, voici quelques bons gestes à adopter pour le bien de la communauté et des générations futures.
Et si on retournait à la nature ?
Il fut une époque pas si lointaine que ça et pourtant presque oubliée de tous où la majorité des aliments consommés venait directement d’une production personnelle. Désormais, face aux enjeux économiques et environnementaux que présente l’alimentation, il est plus que nécessaire de retourner vers ce type de base. Il faudrait davantage songer à produire soi-même les aliments consommés ; ou tout au moins une certaine partie.
Vous pouvez entretenir dans votre jardin un petit potager ou profiter des différents terrains municipaux disponibles à cet effet. En plus du plaisir de redécouvrir la nature tout en cultivant sa propre nourriture, il faut signaler que les jardins urbains ont un impact non négligeable sur la réduction de l’empreinte carbone.
Ce n’est pas pour rien que de grandes villes de la trempe de Milan en Italie ont pris le pari de l’écologie avec d’ambitieux projets tels que les forêts verticales.
Stimuler l’économie locale
Les différents circuits de production locale ont le mérite d’entretenir une certaine cohésion communautaire en plus de garantir l’accès à des aliments d’excellente qualité. Aujourd’hui, les gros lobbies de l’industrie agro-alimentaire étouffent les producteurs locaux en investissant de grosses ressources dans les campagnes visant à entretenir le désintérêt du grand public envers ces derniers. L’un des principaux points de persuasion étant le niveau des prix. Et alors même que l’alimentation bio est une tendance qui gagne de l’ampleur, les gros magnats de l’industrie ne lésinent pas sur les efforts consentis afin de conserver une certaine exclusivité à ce niveau aussi.
Même s’il s’agit d’un effort louable, il faut savoir que votre communauté et vous avez bien plus à gagner en préférant les aliments de proximité.
Déjà, il est un fait indéniable qu’un petit producteur local apportera en règle générale bien plus de soin à sa production que ne le fera une grosse chaîne de distribution. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que de grands groupes tels que “Carrefour” ou encore “Lidl” privilégient de plus en plus les partenariats avec ce type d’entreprise.
Plus qu’une question d’argent
Au-delà de l’aspect économique de cette approche, l’amélioration de la santé et du bien-être de façon générale est un autre bienfait du bio. Une étude a par exemple mis en avant le rôle insoupçonné de certains pesticides couramment utilisés par l’agro-industrie et les risques de surpoids encourus par le consommateur. Et lorsque ce n’est pas le processus de production même qui est remis en cause, c’est le conditionnement qui pose problème. Certains emballages vous font risquer l’obésité et les maladies associées.
Par ailleurs, pour ceux qui sont déjà en situation de surpoids, le fait de consommer du bio peut permettre de maximiser les efforts de perte de poids. Ces aliments, comme les consommaient nos ancêtres, sont bien plus savoureux et c’est meilleur pour la santé.
Les circuits de proximité sont donc un gage de qualité et contrairement à une idée reçue, y faire ses achats ne revient pas forcément plus cher. On n’y a en effet la possibilité de négocier les prix et d’acheter exactement les quantités souhaitées. Ce qui n’est pas forcément le cas dans un supermarché.
L’autre avantage lié au fait d’acheter des aliments de proximité est le développement de l’économie locale que cela stimule. Vous encouragez des producteurs que vous connaissez bien d’ailleurs à continuer à vous fournir des aliments d’une qualité certaine.
Consommer des aliments de proximité mais surtout bio
En cette ère de l’information et du numérique tout va vite, très vite. À tel point que les 24 heures d’une journée semblent désormais ne plus suffire à la plupart des gens en activité. Ce contexte socioéconomique a consacré la relégation au second plan d’un grand nombre d’activités pourtant indispensables à l’existence. L’alimentation notamment est l’une de ces activités auxquelles on n’accorde plus l’attention de jadis. Aujourd’hui, ce sont les grandes surfaces qui assurent l’essentiel de ce que nous mangeons. Et bien entendu avec tous les écarts inhérents à l’industrie agro-alimentaire (contamination aux pesticides, OGM à foison, déforestation, etc…).
Toutes les voix s’accordent aujourd’hui pour reconnaître qu’un véritable changement de paradigme est indispensable afin de préserver la biodiversité ainsi que notre santé. Ce sont les petites actions combinées qui donnent lieu aux grandes révolutions. Aussi, voici quelques bons gestes à adopter pour le bien de la communauté et des générations futures.
Et si on retournait à la nature ?
Il fut une époque pas si lointaine que ça et pourtant presque oubliée de tous où la majorité des aliments consommés venait directement d’une production personnelle. Désormais, face aux enjeux économiques et environnementaux que présente l’alimentation, il est plus que nécessaire de retourner vers ce type de base. Il faudrait davantage songer à produire soi-même les aliments consommés ; ou tout au moins une certaine partie.
Vous pouvez entretenir dans votre jardin un petit potager ou profiter des différents terrains municipaux disponibles à cet effet. En plus du plaisir de redécouvrir la nature tout en cultivant sa propre nourriture, il faut signaler que les jardins urbains ont un impact non négligeable sur la réduction de l’empreinte carbone.
Ce n’est pas pour rien que de grandes villes de la trempe de Milan en Italie ont pris le pari de l’écologie avec d’ambitieux projets tels que les forêts verticales.
Stimuler l’économie locale
Les différents circuits de production locale ont le mérite d’entretenir une certaine cohésion communautaire en plus de garantir l’accès à des aliments d’excellente qualité. Aujourd’hui, les gros lobbies de l’industrie agro-alimentaire étouffent les producteurs locaux en investissant de grosses ressources dans les campagnes visant à entretenir le désintérêt du grand public envers ces derniers. L’un des principaux points de persuasion étant le niveau des prix. Et alors même que l’alimentation bio est une tendance qui gagne de l’ampleur, les gros magnats de l’industrie ne lésinent pas sur les efforts consentis afin de conserver une certaine exclusivité à ce niveau aussi.
Même s’il s’agit d’un effort louable, il faut savoir que votre communauté et vous avez bien plus à gagner en préférant les aliments de proximité.
Déjà, il est un fait indéniable qu’un petit producteur local apportera en règle générale bien plus de soin à sa production que ne le fera une grosse chaîne de distribution. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que de grands groupes tels que “Carrefour” ou encore “Lidl” privilégient de plus en plus les partenariats avec ce type d’entreprise.
Plus qu’une question d’argent
Au-delà de l’aspect économique de cette approche, l’amélioration de la santé et du bien-être de façon générale est un autre bienfait du bio. Une étude a par exemple mis en avant le rôle insoupçonné de certains pesticides couramment utilisés par l’agro-industrie et les risques de surpoids encourus par le consommateur. Et lorsque ce n’est pas le processus de production même qui est remis en cause, c’est le conditionnement qui pose problème. Certains emballages vous font risquer l’obésité et les maladies associées.
Par ailleurs, pour ceux qui sont déjà en situation de surpoids, le fait de consommer du bio peut permettre de maximiser les efforts de perte de poids. Ces aliments, comme les consommaient nos ancêtres, sont bien plus savoureux et c’est meilleur pour la santé.
Les circuits de proximité sont donc un gage de qualité et contrairement à une idée reçue, y faire ses achats ne revient pas forcément plus cher. On n’y a en effet la possibilité de négocier les prix et d’acheter exactement les quantités souhaitées. Ce qui n’est pas forcément le cas dans un supermarché.
L’autre avantage lié au fait d’acheter des aliments de proximité est le développement de l’économie locale que cela stimule. Vous encouragez des producteurs que vous connaissez bien d’ailleurs à continuer à vous fournir des aliments d’une qualité certaine.